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  • György Cziffra enregistre, en 1954, quatre disques 78 tours. Très rares, pour ne pas dire introuvables, ces cires proviennent de la collection de Bruno Garnier, président-fondateur de la Société Internationale des Amis de Cziffra que l’on remercie infiniment pour ces visuels. Malgré tout, il manque la date exacte, le studio d’enregistrement, la marque du piano, le nom des ingénieurs du son. Les informations du disque, numéro de catalogue et numéro de matrice nous aideront probablement un jour à combler ces lacunes. Toutes informations sur ce sujet sont les bienvenues…

     

     MHV SZK 3576 disque 25 cm

    n° de matrice M 1603

    Danse du sabre

    Katchaturian/Cziffra

    La discographie 78 tours de György Cziffra

     

     

     MHV SZK 3576 disque 25 cm

    n° de matrice M 1604

    Le Vol du bourdon

    Rimsky-Korsakoff / Cziffra

     

    La discographie 78 tours de György Cziffra

     

     

    Dans sa pochette d’origine

    La discographie 78 tours de György Cziffra

     


  • Enregistré au Studio des Dames à Paris en 1962. Dans un récent livre inutile sur Chopin, Dominique Jameux nous livre une pléthorique discographie dans laquelle il oublie juste de citer Cziffra. Il y a encore du travail... ! 

    Directeur artistique Norbert Gamsohn Ingénieur du son Gerhardt Lehner 

     

     


  • Une poignée de critiques français a décrété dans les années 60 que Cziffra était tout juste bon à jouer le bateleur d'estrade avec la 6ème Rhapsodie. Son nom même était pour eux quasiment une injure à la bienpensance musicale et ils nous vendaient du Richter du Arrau et du Gould à tour de bras. "Cziffra dans Beethoven... pouah ! c'est insupportable, il n'entend rien à cette musique !"  Les vrais musiciens qui écouteront cet enregistrement entendront qu'au contraire il avait toute l'intelligence musicale, les intuitions justes, l'émotion à fleur de peau, le sens du drame, la douceur chaleureuse, la puissance granitique voulus pour nous livrer une des plus belles versions de ces monumentales variations. Cet enregistrement a été fait au Théâtre Fontaine le 19 décembre 1957, un an après son arrivée triomphale en France et fait partie d'un de ses premiers disques totalement renversant (EMI FALP 515) entièrement consacré à Beethoven.  

     


  • Le chant de Chopin, si éloquent, si phrasé, la virtuosité éclaboussante de Liszt et, par dessus tout, cet incomparable art du timing de Cziffra entre 2:39 et 2:42...


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    Ah ça... c'est THE trésor des enregistrements de studio... Théâtre Fontaine 6 décembre 1956 et 4 janvier 1957. Directeur artistique Norbert Gamsohn Ingénieur du son Paul Vavasseur. 


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  • Humilité devant la partition qu'il joue comme de la musique de chambre avec une inspiration spirituelle intense,

    gentillesse et gratitude envers les musiciens, sourire de paix et de reconnaissance adressé au public, tel

    était Cziffra, un missionnaire désintéressé de la musique. Un passeur d'espoir, un vrai musicien. 







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