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Par Christian Lorandin. le 19 Mars 2014 à 12:04
Exceptionnel document capté sur le vif où l'on entend le travail en profondeur que Cziffra effecutait avant un concert et où l'on s'aperçoit que la musique, la phrase, l'expression restent ses seules préoccupations
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Par Christian Lorandin. le 18 Mars 2014 à 13:18
L'une des plus émouvantes et explosives versions de cette page qui prend ici des allures de chef-d'oeuvre.
La photo est un document privé pris chez des amis à Morsang-sur-Orge à la fin de la vie du génial pianiste.
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Par Christian Lorandin. le 21 Septembre 2013 à 00:18
Signalé comme étant enregistré le 30 avril 1959. Mais sans aucune certitude ni précisions sur le lieu.
L'image ne provient pas du disque de cette improvisation. On y décèle un trompe l'oeil sur le titre "Improvisation by"
La pochette est celle du disque Angel 35610 (édition anglaise) du célèbre enregistrement "Transcription, paraphrases
et improvisations"publié en France : Voix de son Maître FALP 501 qui eut un grand retentissement à l'époque.
Enregistré en 1957
Cette improvisation qui en recèle quelques influences nous fait regretter que Cziffra n'ai pas continué à fréquenter
Bartok après son historique interprétation du 2ème Concerto le 22octobre 1956.
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Par Christian Lorandin. le 19 Septembre 2013 à 22:30
C'est avec des pièces de ce genre que Cziffra pouvait se faire détester par la critique ou aduler du public. Le grand compositeur hongrois Ernö Dohanyi fut l'un des professeurs de Cziffra à l'Académie Frans Liszt de Budapest. Outre cette pièce d'une virtuosité transcendante exacerbée par les moyens et l'invention musicale de Cziffra, il est l'auteur d'un grand nombre d'oeuvres pour piano, orchestre et musique de chambre absolument sublimes qui le situent dans la lignée de Brahms dans le courant post romantique. Cziffra avait mis ce Capriccio à ses programmes dans les années 70 et le jouait souvent en concert. Ce Capriccio est très emblématique de l'approche virtuose de Cziffra, mais il n'en n'oublie pas la musique, certains passages sonnent comme du Ravel, ni les aspects tziganes avec l'accentuation des appogiatures dans la superposition coriace des mains. De même, telle un friska de rhapsodie, il en accentue le mouvement jusqu'aux limites de l'impossible comme un immense vertige musical. Beaucoup de pianistes et de musiciens pourraient en tirer une leçon de souplesse féline, de goût du risque exemplaire, et méditer sur ce qu'est vraiment l'interprétation.
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Par Christian Lorandin. le 19 Septembre 2013 à 22:06
1969
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